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Roc’h des Monts d’Arrée 2014

16ème édition 2014, Huelgoat dans le Finistère.

Voici les récits et les impressions des participants… Bonne lecture 😉

Vous pouvez retrouver les 60 photos dans la section photos.

La vidéo officielle :


 Karim (maxi raid expert de 80km)

Pour moi le Roc’h des monts d’Arrée c’est :

–     R comme Rencontre : Une rencontre pendant trois jours avec deux membres du CCVV : Michel et Fabien. Une belle aventure longue de 84 kms avec Michel. On s’est soutenu tous les deux (enfin surtout lui) et avons partagé de belles émotions sur ce magnifique parcours. Fabien il a fait le 120kms et il a mis moins de temps que nous, il a dû couper c’est sûr… Avant et après la course : de belles rigolades, des conseils, de l’entraide et de la bonne humeur…

–     O comme Organisation : Le Roc’h c’est une grosse organisation qui a gardé son esprit bénévole et convivial. Ici on n’est pas là pour faire du business mais pour découvrir une région et aller au bout de soi-même. Les ravitos sont supers, les gens sympas et les coureurs se respectent les uns les autres.

–     C comme  Chuiauboutdurouleau : 84 kms, faut être fou…et en plus on paie pour faire ça ? Cette année encore je suis allé au bout de mes ressources (Monsieur est récidiviste) même si je m’étais préparé. Les 50 premiers kms j’étais pas mal : les jambes tournaient bien, pas de crampes et pas de problèmes mécaniques. Les 34 derniers kms j’étais moins bien avec surtout une belle douleur dans le dos. J’étais obligé de m’arrêter régulièrement pour faire des étirements mais encore une fois je suis allé au bout du bout… On est tous allés au bout et Michel, galvanisé par l’air de sa Bretagne natale, et malgré son âge canonique m’a vraiment impressionné car il a fini plus frais que moi du haut de mes 35 ans.

–     ‘H comme Huelgoat : Au Roc’h on est au cœur de la Bretagne et des monts d’Arrée. Point culminant de la Bretagne, on est dans la lande avec des paysages à couper le souffle. Un mont c’est pas haut, c’est une petite montagne. Alors ça monte et ça grimpe aussi. Parfois ça monte plus dûr et parfois c’est un faux plat montant… Il arrive que ça descende mais souvent de manière raide et après il y a toujours une montée. Bref 1300 mètres de dénivelé pour lequel mon braquet 95kg x 32 dents n’est pas trop adapté.


 Pascal (maxi raid expert de 100km)

Ci -dessus la photo de l’arrivée triomphante de Magalie et de Stéphane LE gentleman.

103 km, 2163m de D+ et toujours le sourire LA CLASSE !!!!!!

En une journée nous avons eu tout le panel du climat breton : avec un départ à l’aube dans la brume, les nuages, quelques instant de pluie.
Puis le soleil est apparu, nous permettant d’admirer les superbes paysages des Monts d’Arrée.

A l’arrivée crêpes, galettes et cidre histoire de récupérer.

Que du bonheur!!

A l’année prochaine pour le 120 Kms !!!!???????????


Bertrand (maxi raid expert de 100km)

La Bretagne, ce n’est pas que la mer. C’est aussi la montagne avec le Massif armoricain et ses splendides Monts d’Arrée qui alternent landes sauvages parsemées de bruyères tachetées de jaune et de violet et roc’h (rochers de schiste) ; eh oui, les Roc’h des Monts d’Arrée 2014 nous attendent de pieds fermes.

C’est avec une grande excitation que nous quittons Vélizy sous une pluie battante, le samedi 20/09, pour nous rendre à Huelgoat. Quelques 6 heures de route nous attendent.

A l’arrivée à Huelgoat, un grand soleil nous attend. Après le retrait des dossards, nous repartons pour Quimper où nous attendent un délicieux repas et un lit bien douillé.

Dimanche matin, 5h30. Le réveil est dur car la nuit fut longue et mouvementée. Départ 6h30 de Quimper pour rejoindre Huelgoat. Promis, cette année, nous ne serons pas en retard.

Arrivée à Huelgoat à 7h30. Le temps de retirer les vélos du porte-vélos, il est temps de rejoindre l’arrivée en pleine nuit pour rejoindre la vague des dizaines de vététistes prêts à s’élancer pour le 100 km.

C’est parti ! Après quelques centaines de mètres sur l’asphalte, nous rejoignons les premiers singles à travers bois et les premières difficultés. Le temps est humide et brumeux. Ça sent la pluie ! En effet, quelques minutes après le départ, la pluie s’invite à la randonnée ! Nous faisons grise mine car cela risque rapidement de tourner au bain de boue. Mais heureusement, quelques minutes plus tard, le soleil tente de percer.

Après quelques montées et descentes à travers champs et bois, nous sommes arrêtés par un convoi… de vaches qui part paître dans les prés ! C’est reparti après quelques minutes d’attente. Les vététistes ont regardé les vaches passer !

Après quelques dizaines de kilomètres et plusieurs ravitos bien achalandés, le soleil pointe le bout de son nez, la chaleur commence à se faire sentir et les landes de bruyères se découvrent à perte de vue ! Le spectacle est grandiose ! Nous sommes comblés par ce paysage féérique aux montagnes et aux lieux éloquents : les landes du Cragou, Tuchenn Kador, Menez Mikel, le lac Brennilis,…

Les heures passent, les kilomètres s’avalent à 15 km/h de moyenne et les paysages féériques défilent ! Nous sommes au paradis.

Nous poursuivons notre petit bonhomme de chemin à travers la lande et les prairies, nous contournons les lacs et nous traversons quelques rus et petits torrents pour finalement revenir sur nos pas et terminer par deux petites côtes qui finissent par nous achever !

Nous sommes contents d’arriver à Huelgoat après quelques 100km et 2100 mètre de dénivelé !


Fabien (maxi raid expert de 120km)

Les Roc’h des Monts d’Arrée c’est ma première fois, je découvre un coin de Finistère magnifique sur une distance de 120 km.

Tout commence de matin tôt dans la nuit avec un brouillard assez épais qui au fur et à mesure du temps se dégage pour laisser place au soleil et ainsi permet de montrer une lande magnifique.

Le tracé proposé par l’organisation est exceptionnel avec des passages techniques en descente, des terrains très diversifiés (terre, passages de gué, gros rochers). Quitte à parler de l’organisation autant dire qu’ils sont supers et que chaque ravitaillement se passe dans la bonne humeur et avec un thème spécifique.

Une épreuve assez longue pour un total de 9 heures cumulées mais un plaisir pour le VTT.

Sans le CCV je n’aurais pas découvert une telle randonnée !


Magalie (maxi raid expert de 100km)

Quelle aventure !!! C’était un sacré défi et une superbe satisfaction à l’arrivée. Le tracé était exigeant mais… que les paysages étaient magnifiques !! Cela restera un incroyable souvenir et un bon moment partagé avec le club.


Stéphane (maxi raid expert de 100km)

Très bonne organisation du voyage très bonne ambiance tous le week end vraiment ravi d’avoir fait le voyage .

Le roc’h est très bien organisé le départ, les ravitos, et un parcour de 100km magnifique avec de superbes paysages, bien équilibré sur le dénivelé .

A refaire.


Michel (maxi raid expert de 80km)

Départ de Huelguat à : 8h06, Kharim et moi sommes dans la 1ère vague, juste devant la ficelle de départ. Allez c’est lancé, le seul problème c’est qu’il ne fait pas encore jour, et que nous avons du brouillard, ce qui fait que la 1ère descente est un vraie calvaire pour moi, car je n’y vois goutte, enfin j’y arrive, et là devant moi la 1ère montée très technique, ça y est nous sommes dans le vif du sujet, Les km s’enchaînent, ainsi que les montées, les raidars, et ses (pardon pour l’expression ) putains de cailloux hyper glissants, et bien souvent nous sommes obligés de mettre pied à terre pour pouvoir finir la montée, mais nous sommes à fond dans notre tripe, et nous continuons.

Voici la 1ère rivière que nous passons 10cm d’eau, les chaussures sont trempées, mais quelle partie de rigolade à voir les autres se vautrer pour certains dans l’eau. On a passé 5 gués comme ça, et un passage de boue, que je n’avais jamais encore vu.

15eme km nous arrivons au 1er ravito. Ah ses ravitos, tous ont un thème, celui là c’est << chaussée aux moines >> mais que c’est copieux tout y est rien ne manque. Là je suis filmé et interviewé par la télé locale au sujet du vélociraptor sur mon casque, j’explique ce qu’est notre club, Kharim prend des photos.

C’est reparti, pour faire court, nous enchainons les bois de sapins avec un sol comme du velours, mais que c’est dur de rouler sur ce tapis d »aiguilles de pins et de terre de bruyère. On gère notre effort, 2eme ravito 37ème km, roc’h gouel yann, et là nous sommes à la porte des monts d’Arrée, à partir de là c’est 4km5 de montée dans les cailloux, jusqu’à braspar st michel,3 ème ravito et là se trouve de gros raidars bien techniques, mais je les passe, je n’en reviens pas moi même .

Ensuite c’est la descente sur Brennilis, où la aussi c’est  très difficile pour moi, car les cailloux de la sorte je n’en ai jamais fait, et bien souvent je mets pied à terre, mais je ne suis pas le seul, ce qui me console.

A un moment je vois passer une flèche orange, qui lui vole au dessus des pierres, c’est Fabien qui lui roule sur le 120km, et qui vient de nous passer au 43 ème km comme un tgv, c’est vraiment super à voir, car cet endroit c’est vraiment pas facile à faire, Pour donner une idée de la difficulté, à un passage de marche, je reste en équilibre sur un caillou, mes deux pédales touchent, et la roue av et ar ne touchent pas le sol et là je suis bien embêté pour ne pas tomber. Ensuite  c’est

le tour du lac St Michel avec des passages encore très techniques, mais dans un décor magnifique après le 4 ème ravito, toujours aussi copieux,  là il nous reste 20km

à faire, sur ce parcours c’est ouvert à tous pour le retour du 40 au 120km, et là il y a du monde.

On arrive au lac d’huelgoat ça sent l’écurie, mais il reste une grosse difficulté, c’est la montée vers la ligne d’arrivée, mais pour moi là je mets le turbo, Je lâche Karim, et je fais mon ascension sur le  30/32,( pour les connaisseurs ) et je remonte énormément de coureurs qui sont au bord de l’épuisement, je passe derrière l’église, et là aussi un gros coup de cul à donner, et je me rends compte que j’en ai encore sous la pédale, ensuite c’est la traversée de la route principale, et la ligne d’arrivée, où là se trouve Pascal, Bertrand et Fabien qui prennent des photos, je laisse éclater ma joie, je viens de faire et de terminer les monts d’Arrée en 6h 43 de roulage, et Karim ensuite arrive lui 7 mn après, on se tombe dans les bras,( j’ai un petite larme ) nous venons de nous rendre compte que nous sommes allez au bout de notre périple, et que nous avons bien géré notre effort, et que nous nous sommes motivés tout les deux, et comme j’avais dit à Karim au départ, on reste ensemble, on monte ensemble, on crève ensemble, mais on le fait. ET tous du club, les 7 nous sommes tous finishers sur nos circuits respectifs.

Et  bien un grand coup de chapeau à vous tous pour votre performance, surtout toi Magalie qui est allée sur le 100km, et qui l’a fait malgré des problèmes d’épaule. bravo et  respect.

Moi je signe déjà pour l’année prochaine, et j’espère que nous serons encore plus nombreux à y aller.

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Balade VTT familiale 2014

Une édition 2014 sous le soleil

Comme chaque année, le dimanche matin de la Fête des Associations, le club propose sa traditionnelle randonnée VTT familiale, pour faire découvrir notre belle forêt aux néophytes.

Ainsi, une quarantaine de participants nous ont rejoint.

Nous avons également pu accueillir de nouveaux Véliziens durant la balade. En effet, ils avaient été informés de cet évènement lors de la découverte de la ville en bus organisée par la municipalité la veille, afin de leur souhaiter la bienvenue.

Vous trouverez les photos du départ et des récompenses ICI.

Merci à tous les participants pour leur bonne humeur, nous vous donnons rendez-vous l’année prochaine et vous attendons toujours plus nombreux.

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Un petit tour en Normandie

Cet été, j’ai tenté (Fabien) de faire un petit trip en mode cyclotouriste pour aller voir de la famille. J’ai profité d’avoir des jours de congés pour aller de Fontenay-aux-Roses à Cany-Barville (76).

Le trajet sur Google Maps donne environ 200 km en passant par l’Avenue Verte London-Paris qui semble bien fléchée et qui a même un site dédié qui parle de chaque tronçons.

Pour faire ce trajet, on m’a prêté une remorque Extrawheel qui a l’avantage d’être bien légère et de pouvoir transporter un bon volume derrière le vélo. L’accroche se fait simplement en remplaçant l’axe arrière traversant par celui dédié à la remorque. Du coup, je ne peux pas le monter sur le VTT et je monte donc la remorque sur le vélo de route. La remorque fait moins de 5 kg à vide et une fois chargée pour mon périple, j’ai un chargement de 22 kg. Ça se fait ressentir mais c’est hyper stable et pas si gênant.

Tout d’abord, je pars depuis Fontenay-aux-Roses vers Le Pecq voir de la famille le mardi dans l’après-midi. Cela va me permettre de faire environ 20 km et de tester la remorque pour voir si tout se passe bien. Le trajet se fait sans aucun problème et cela me met en confiance pour faire mon trajet complet le lendemain matin.

Réveil le mercredi vers 6h30 pour un départ vers 7h30. Me voilà prêt à partir :

La route avant de trouver l’avenue verte n’est pas très longue vu que je peux accéder au niveau du pont du Pecq à ce tronçon. Tout d’abord, une remarque, les chemins pris ne sont pas forcément goudronnés ce qui n’est pas terrible avec un vélo de route, il vaut mieux un VTC, mais je continue quand même. Ensuite, j’ai le vent de face dès le début ! Une température extérieure de l’ordre de 15 °C ce qui est bien et du coup, je ne souffrirais pas de la chaleur.

Arrivé à Sartrouville, première galère, je continue la voie et d’un coup elle disparaît ! Heureusement, j’avais étudié le parcours et j’avais vu qu’il fallait franchir le pont vers Maisons-Laffite pour continuer. Lorsque je m’aperçois du problème, je fais demi-tour mais j’ai dû faire un détour d’un bon kilomètre pour le coup. D’ailleurs, je croise d’autre personnes qui font la même erreur que moi… Vraiment pas bien fléchée cette zone. Je traverse la forêt de Saint-Germain-en-Laye qui est très sympathique à cette heure-ci car j’ai vu plein de lapins, des perdrix et des écureuils roux.

Arrivé vers Conflans-Sainte-Honorine, je me retrouve à nouveau dans un endroit où le fléchage est manquant… J’ai perdu de vue le trajet au moment où j’arrivais sur les quais et au bout d’un moment j’ai fait demi-tour pour retrouver le dernier fléchage que j’avais vu. C’est là que j’ai aperçu la suite du parcours qui passait sous un pont… Bon là je pense que je n’avais pas été assez attentif mais encore bien 2 kilomètres de trop de fait…

Là, débute ma grosse galère ! Je pense que j’ai dû perdre facilement 2 heures ce qui va bien me plomber mon trajet… Premièrement, je n’ai pas vu la bifurcation entre ce tronçon vers Beauvais et celui-ci dans le Vexin (vers Jouy-le-Moutier). Du coup, je me suis dirigé pendant facilement 10 km dans la mauvaise direction… Cette zone étant très urbanisée il y a pas mal de flèches qui ne sont plus présentes… Puis, gros problème, sur un chemin « VTC » je coupe le pneu en deux ! Le bruit de la crevaison a fait comme un tir de fusil ! Mais là c’est une grosse galère… J’ai des rustines, chambres à air et des outils mais pas de pneu de rechange. Je change la chambre, je mets une rustine collée dans le pneu pour essayer de tenir et je dois me dépêcher d’acheter un nouveau pneu sinon je dois abandonner… Un passant m’aide à remettre la remorque en place sur le vélo (plus simple à deux) et il me dit qu’il y a un magasin de cycles à moins de 2 kilomètres vers la gare RER. J’y vais donc lentement en espérant que ma réparation tienne. J’y arrive avec une hernie qui grandit mais pas de chance, c’est le mois d’août et donc le magasin est fermé. Pas le choix, je vais vers le Décathlon le plus proche qui est d’après mon GPS à 4 kilomètres. Je roule maximum un kilomètre et là la hernie touche le cadre… Je dégonfle le pneu et je dois marcher : le GPS dit 3 kilomètres ! Marcher avec des chaussures de vélo de route sur une telle distance : la plaie. Après coup, je me suis dit que j’aurais pu sortir mes baskets qui étaient dans la remorque… Arrivé au Décathlon, au bout de 40 minutes de marche, j’ai une ampoule sous le pied et clairement j’ai perdu plein de temps ! J’achète 2 pneus, une chambre à air et des pansements anti-ampoules, je répare dans le magasin et c’est reparti. Là, je m’aperçois que je ne partais pas dans la bonne direction, c’est-à-dire vers le Vexin… Je mets le GPS pour me renvoyer dans la bonne direction !

À partir de ce moment, je suis un peu dégouté je n’ai pas fait beaucoup de kilomètres et je ne suis toujours pas sorti de la région parisienne. Je roule dans le Vexin, sans problème puis nouvelle crevaison ! Vraiment maudit… Je me dis que la chambre à air avait dû souffrir avec la hernie donc mise en place de la neuve. Là, ça roule bien jusque Gisors point où je vais manger sauf qu’il est déjà 14h30 et que clairement cela fait bien longtemps que j’aurais du être à cet endroit. J’ai au compteur presque 100 kilomètres. J’ai vraiment fait pas mal de détours.

Une bonne pause de 30 minutes qui va me relancer dans ma course contre la montre maintenant parce que ça risque d’être difficile d’arriver avant la nuit. En plus, la fatigue et le vent de face n’aidant pas j’ai un peu froid sur le vélo. J’aimerais bien m’abriter derrière un autre cycliste mais je n’en vois pas. Je croise des familles qui ont aussi des sacoches c’est vraiment un bon trip à faire je l’accorde !

La partie Gournay-en-Bray vers Forges-les-Eaux fait un nombre de détours déprimant… En plus c’est en travaux avec un fléchage temporaire, quand je regarde la carte et les directions, je quitte parfois le parcours pour prendre au plus court même si la route est un peu plus fréquentée. Nouveau problème qui apparaît, suite à un arrêt pour prendre une barre de céréales, j’ai la remorque qui tombe sur le côté et qui appuie sur la patte de dérailleur arrière. Du coup elle se plie un peu, je la retords à la main. Heureusement c’est du bas de gamme et assez ancien. Ce qui fait que j’ai le dernier pignon qui passe très mal et comme j’ai un double plateau ce dernier pingon me manque dans les plus grosses côtes !

J’arrive à Forges-les-Eaux vers 18h30, enfin l’avenue verte ! C’était quand même un des buts de mon périple voir cette fameuse voie dédiée. Vu l’heure, je préfère demander à mon beau-frère de venir me chercher à Neufchâtel-en-Bray parce qu’il y en a pour environ 20 km soit une heure et que je suis bien rincé. Sinon, je pouvais m’arrêter dans l’auberge de jeunesse pour dormir et repartir le lendemain. La partie de l’avenue verte est vraiment très belle et bien entretenue sur une voie bien réservée avec aucune chicane à vélo ce qui fait que le passage se fait vraiment bien. Je referais bien ce trajet Forges-les-Eaux vers Dieppe.

Arrivé à Neufchâtel-en-Bray, 166 km au compteur bien épuisé. Le GPS m’annonce plus de 50 km avant Cany-Barvile, je ne pouvais pas finir dans la journée. Je n’aurais pas eu mon problème de coupure de pneu, un meilleur temps (surtout pas de vent) j’aurais pu aller plus loin mais j’ai déjà fait une bonne découverte. Je retenterais bien ce voyage une autre fois !

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MB Race 2014

Petit compte-rendu de la MBRace le 6 juillet 2014 effectuée par Fabien Archambault.

Tout d’abord, il faut situer mon état en arrivant : j’avais eu une très mauvaise expérience de la Granit’Montana 3 semaines plus tôt avec tout plein de problèmes ! J’ai fait mon maximum pour résoudre les pannes en changeant les pneus du vélo et en améliorant le passage de câble de la TDS télescopique. Ensuite, depuis cette course j’avais les côtes qui me faisaient mal à un endroit situé vers les côtes flottantes, malgré un passage chez l’ostéopathe qui m’a au passage remis une vertèbre cervicale en place, j’avais toujours mal… Visite chez le médecin pour radio des côtes qui, le samedi 28 juin, dit que rien n’est cassé ou autre. Donc Voltarène et antalgiques puis repos devraient suffire. Je peux donc partir pour la Haute-Savoie dès lundi.

Pour situer aussi, j’ai fait l’an passé la MBRace et j’ai abandonné vers le kilomètre 60 pour cause de roue arrière et dérailleur cassés, alors qu’à ce moment il ne reste presque plus de difficultés et que j’étais vraiment bien. J’ai aussi fait le 50 km, il y a 2 ans en 4h50 et avant c’était bénévole ! Donc mon esprit de revanche sur la course cette année me donne envie d’aller sur le 100 km, même si je sais que ma préparation n’est pas optimale.
Arrivé sur place dans l’après-midi du lundi précédent la course, premier test depuis là où je loge, à Sallanches, je monte vers Cordon (environ 400 D+ sur 4 km) par la route pour voir comment je supporte l’effort vu que mon entrainement était léger avec les côtes qui me faisaient mal en vélotaff… C’est bon signe je n’ai pas mal pour l’instant. Le lendemain, petite sortie avec 300 D+ sur une dizaine de kilomètres pour rouler tranquillement. Toujours pas de problème. Mercredi : temps pourri avec pluie et crachin, pas motivé pour sortir et comme ils prévoient un beau temps le lendemain c’est pas grave. Jeudi, allez je sors pour être certain de pouvoir me présenter dimanche. Sortie direction le col du Jaillet par les chemins que je connais, ça monte longtemps, j’ai mis 1h30, avec un sommet vers les 1500 m, soit presque 1000 D+, suivi d’une belle descente de 30 minutes presque tout droit ! Là on s’amuse ! Toujours parfait pour prendre le départ, la confiance monte ! Vendredi temps exécrable… Le terrain va être glissant. Samedi, petit tour comme le mardi juste pour voir le terrain et pour entretenir la forme sans se fatiguer.

Niveau alimentation, pour la MBRace c’est la seule course où je fais vraiment attention. Trois jours de malto avant, pas mal de féculents, viande la semaine avant et un vrai bon plat de pâtes le samedi soir ! Un gâteau sport au petit déjeuner avec du thé pour que ça passe mieux. Je pars avec un sac plein de 3 litres d’eau et un bidon d’isostar. J’ai aussi des gels coup de fouet anti crampes dans le sac et des barres de céréales.
Le dimanche approche, réveil 4h30 pour le petit déjeuner et préparation, puis prise de la voiture pour arriver à Megève vers 5h45. Mise en place dans la zone de départ et là, déjà, on voit qu’il y a beaucoup plus de monde que les années précédentes ! Le speaker annonce 700 personnes au départ, vu le monde devant et derrière je suis au départ vers les 600, mais bon c’est très long la MBRace donc pas de problème.

Départ lancé à 6h00, le temps que tout le monde se lance, je passe la ligne de départ à 6h02 ! Le temps est magnifique un peu frais au départ mais on va avoir une belle journée ! Ça roule sur la route à un bon train, route assez large, vraiment pratique vu le monde qui est présent. Arrive la première montée à deux de front ça monte bien mais arrivent les premiers soucis, pas mal de personnes posent pied à terre alors que ça ne monte pas franchement très fort. Du coup, il faut fournir un peu d’effort pour les éviter. Je passe aussi bien que possible, puis première descente dans des gravillons, adhérence pas top mais ça met en jambes. Petite remontée déjà plus de bouchons ! Puis ça redescend vers Cordon, là je suis un peu bloqué par des gars qui descendent pas trop mais bon c’est que le début. J’arrive au premier ravitaillement et j’hallucine : 45 minutes pour faire les 14 premiers kilomètres, je suis en forme olympique ??? Ça fait environ 500 D+ maximum pour 700 D- mais quand même le temps est très court ! Donc c’est le premier ravitaillement, je ne le passe surtout pas, je mange, bois mais c’est reparti assez vite !

Là on sait que commence vraiment la course avec la montée du Col du Jayet, je la connais j’ai fait cette montée jeudi, mais pas par le même chemin exactement. Avant, on nous fait passer par quelques bons raidars qui chauffent bien les cuisses avec quelques descentes mais pas mal de route… Arrive enfin la partie Col du Jayet, ça monte… longtemps ! Par contre, on peut admirer le soleil qui se lève sur le Mont-Blanc avec toute la chaîne c’est magique et c’est là qu’on se dit qu’on fait la MBRace pour ça ! Arrivé au chalet de l’Avenaz on est presque au sommet, il reste une portion bien galère de portage ! Un chemin de chèvres qui ne passe clairement pas sur un vélo… Une fois passé, un single bien sympa mais avec la boue bien glissante c’est pas très simple ! Petit pointage, j’en suis au kilomètre 28 en 2h56 la moyenne est beaucoup plus normale mais bon on vient de prendre facilement 1000 D+ et on n’a pas entamé la descente, donc très bon rythme. Je suis encore frais et je me sens d’aller sur le 100 km ! Passé le début de descente bien galère, je peux lâcher les freins et descendre, les chemins sont assez larges et pas trop techniques. Quelques bonnes grosses côtes cassent le rythme mais bon c’est normal !

J’arrive au ravitaillement de la Giettaz au kilomètre 36, ça fait 3h27 que je suis parti. Je suis toujours en forme mais je sais que le plus gros du 70 km arrive ! Le ravitaillement est bien pris pour ne pas avoir de problème d’alimentation dans la monstrueuse côte qui arrive. De toute façon, à ce ravitaillement on annonce bien la couleur : 9 km et 761 D+ ! Sachant qu’il y a environ 1 km en plat descendant… Donc c’est parti, ça monte lentement mais sur le vélo à 4-5 km/h ! Je n’arrive pas à aller plus vite, mais bon je reste sur le vélo alors que d’autres poussent, c’est bon ça évite les crampes ! Bien sûr arrive le passage où ça ne passe plus, à mon niveau, et je le sais donc pied à terre et portage sur facilement 800 m. Passé cette zone, je remonte sur le vélo et c’est reparti jusqu’au ravitaillement du Gâteau au kilomètre 45 au bout de 4h54. Là je commence à me dire que vu que je n’arrive pas à mettre plus en montée mon objectif du 100 km s’éloigne… Je m’alimente bien encore une fois et comme j’ai vidé mon bidon d’isostar (0,5 L), je remplis la gourde d’eau et je mets une pastille de « d’isostar » (un équivalent qui avait était donné à la Granit’Montana). C’est reparti on n’est qu’à la moitié de la côte et la partie la plus dure arrive ! Je me souvenais de 2 murs à passer, en fait il y en a 3 !!! Bon là c’est simple ça pousse, ça porte enfin c’est très dur !!! Je fais le maximum sur le vélo mais les pourcentages sont horribles. Par contre, la vue est exceptionnelle !

Voilà le sommet, je n’ai pas de pointage exact à cet endroit là mais je suis environ une heure après le ravitaillement ! Je crois être à 11h45 à ce point soit 5h45 depuis le départ. Là par contre, c’est la descente qui s’entame avec bien sûr encore quelques légères montées, mais c’est en grande partie descendant et assez technique. Je me méfie très fortement parce que c’est là que j’ai cassé l’an passé et que j’ai dû abandonner ! En plus, arrivé en haut de la tête de Torraz, j’ai la chaîne qui n’arrête pas de faire du « chain suck » à cause de la boue, j’ai bien sûr pas pris d’huile (grosse erreur !!!) mais coup de chance des spectateurs sont là avec une grosse bombe de WD40 et aident ceux qui ont besoin ! Du coup ça repart nickel ! Il faut voir la vue en haut : c’est magique, même si c’est pas le moment pour m’arrêter mais plein de coureurs le font ! J’y retourne de toute façon en randonnée ou en hiver par ici ! Puis, arrive une zone toute pleine de racines qui signifie qu’on arrive aux Frasses, donc au ravitaillement suivant.
Arrivé au kilomètre 53 en 6h18. Pareil, on mange bien et on repart ! S’ensuit une côte qui fait bien mal aux cuisses, mais qui n’est pas très longue, puis arrive la partie de la descente que j’attendais. Cette descente emprunte une spéciale de la MBEnduro qui est géniale ! Virages relevés, bosses, racines… le pied ! Enfin, je dis ça, mais vu certaines personnes qui galèrent en descente c’est pas la partie qu’ils apprécient ! Là on plonge directement sur Combloux, on approche du bout, pour moi qui à ce moment suis certain de m’arrêter au 70 ! Donc kilomètre 62 en 6h58 je ne suis plus très loin de la fin.

D’après la carte imprimée sur la plaque de cadre, la fin est une portion descendante mais… c’est faux !!! On nous fait prendre une montée qui à mon avis n’est pas si difficile mais avec l’effort que j’ai fait depuis le début, elle me parait vraiment dure !!! Bien obligé de poser pied à terre tellement je suis au bout. Puis la fin, portion de route en faux plat montant avec vent de face et personne pour rouler en relais et s’abriter… Un bon point de mire qui m’aide à garder un bon rythme mais c’est dur ! Et là arrive la fin, le choix final entre : soit je vais vers le 100 km, soit je termine ici ! Je suis mort donc je termine à ce moment-là ! Finalement 68 km 3600 m de D+ en 7h31. Épreuve terminée ! J’ai dû mettre 5 minutes et boire beaucoup avant de reprendre mes esprits… j’étais au bout mais qu’est-ce que ça fait du bien ! Revanche prise ! Mon sac de 3 L était vide heureusement que ça se finissait ! Donc j’ai bu facilement 4,5 L d’eau en comptant ravitaillements et ce que j’avais dans les poches au départ.

En résumé : beaucoup de boue pour cette édition, un temps magnifique, paysages magnifiques mais ça c’est tous les ans ! L’ambiance des spectateurs toujours excellente et plein de monde pour applaudir tout du long. L’ambiance entre les coureurs n’est pas à se tirer la bourre, on est tous dans la même galère et pour un effort très prolongé ! Balisage pas de soucis et ravitaillements copieux !

Petite image du parcours :

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Raid Impérial Compiégnois 2014

22 juin 2014 – 18ème édition du RIC

Cette année le RIC a été ressenti par les habitués du club comme l’édition la plus difficile suite à un tracé mal réparti en dénivelé positif.

Une épreuve qui demande beaucoup d’entraînement pour les membres du CCVV qui souhaitent y participer, car il faut acquérir l’endurance, la technique et surtout la gestion de l’effort pour mieux finir sur la traditionnelle longue distance du raid.

L’organisation annonçait sur papier 105 km avec 2100 de D+, alors qu’en réalité c’était tout autre chose sur le terrain suite à une modification de dernière minute imposée par l’ONF.

Nous avons eu connaissance de cette information en arrivant au 3ème ravitaillement dans le secteur des Grands Monts avec déja au compteur 76 km et 1100 de D+. Les bénévoles présents au ravitaillement nous annoncent qu’il reste encore une distance de 40 km avec 1100 de D+ et que nous rentrons dans la portion la plus difficile du parcours. Oups !!!

C’est un vrai coup de massue pour beaucoup d’entre nous et certains y renoncent en prenant la route pour un retour plus rapide et moins difficile.

Pour le CCVV pas question de prendre le raccourci et nous reprenons la force et confiance autour du copieux ravitaillement avec saucisses chaudes, fromages et fruits secs. Ensemble nous faisons le point et nous décidons de poursuivre l’aventure. Nous chevauchons de nouveau nos destriers qui eux aussi semblent bien fatigués et qui n’ont cessé de nous le rappeler par des grincements de chaîne à chaque coup de manivelle.

Sans surprise nous retrouvons rapidement les pentes qui s’enchaînent les unes derrière les autres sans aucune récupération entre deux.

La fatigue se ressent dans les jambes et avec une température de plus de 25 degrés de nombreux vététistes poussent leur monture dans les raidars. Arrivés au pied du redoutable mont Saint-Marc plus personne ne parle et ne rit. C’est avec une forte respiration et de concentration sans regarder le sommet que les vélociraptors Véliziens se lancent à l’assaut de l’ascension. Un bénévole en haut de la bosse nous dit que ce n’est pas fini et que nous devons redescendre pour le remonter encore à deux reprises sur différents versants. Dans nos têtes ça devient l’Enfer du Nord.

Aller, encore quels tours de jambes et c’est l’arrivée qui s’annonce à l’approche de la voix du speaker dans les haut-parleurs. C’est bien fini nous passons sous l’arche gonflable avec 7h23 de roulage pour un temps total de 8h00 de présence sur le parcours, une distance de 118 km et 2250 de D+ au compteur.

Après une bonne douche et avec quelques contractions musculaires le groupe se rassemble autour d’un bon repas et d’une bonne mousse (*3) de récupération. La forêt de l’Oise , avec ses décors splendides entre monts , crêtes et étangs nous laisse un souvenir inoubliable.

Nous avons hâte d’être à l’édition 2015.

Philippe.

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Pass’Portes 2014

27, 28 & 29 juin 2014

Nous avons passé un super weekend.
Nous sommes partis le vendredi matin à 6H pour arriver à 13H, de quoi nous laisser le temps de flâner sur le salon du vtt aux Gets…

Samedi matin, départ de Montriond les Lindarets.
Le temps était correct pour rouler malgré quelques ondées lors de notre passage en Suisse.
Le terrain était très joueur, mais piégeux.
Les frères Fontez en ont fait les frais en chutant lourdement tous les deux.
Heureusement plus de peur que de mal, même s’ils étaient bien équipés, c’est qu’ils sont costauds les frangins !!!
Leurs casques ont eu moins de chance : grosses traces de pierres pour Aurélien et traces des dents du pédalier pour Florian (avec en prime la vidéo et le son qui vaut vraiment le coup) !!!!!!
La fourche n’a pas apprécié la fougue de Maxime dans les descentes, ni sa jante arrière d’ailleurs!!
Pour Stéphane qui porte encore les stigmates de sa déchirure musculaire à la cuisse, pas de problème, mais on redoutait la côte du golf à Morzine.

Les ravitaillements étaient vraiment copieux : jambon fumé, fromage, tartiflette, fondue au chocolat, bières, tout y était pour reprendre des forces.

Après 10H de vtt, nous en avons pris plein les yeux, plein les bras, plein les jambes et la tête vidée.

C’était trop bon , comme ils disent la montagne ça vous gagne !!!

(de gauche à droite : Pascal, Maxime, Florian, Stéphane, Aurélien)

Merci à tous pour ce bon moment passé ensemble.

Pascal


Vidéo musclée de Florian, et tout en rythme au son d’une musique endiablée. A savourer sans modération !

C’est par ici….

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Essartaise 2014

29 juin 2014

Malgrés le temps, nous nous sommes retrouvés à 3 pour l’Essartaise : Philippe, Jérôme et moi (au lieu d’une dizaine à l’origine).
Philippe se lance sur le 80, Jérôme et moi sur le 60.

Le départ est donné, et nous nous trouvons vite dans des bourbiers et des montées d’enfer. A savoir que nous passons dans des traces où il y a que la place d’une roue de vélo, et encore, les fougères sont plus hautes que nous, et nous devons imaginer la trace, car on y voit rien… C’est le vélo qui ouvre la route, et ce qui rend encore plus difficile les montées ! Mais nous passons.

Puis, sur les Vaux de Cernay,  c’est le sable qui nous attend avec là encore de belles montées bien pierreuses. Au vingtième km, c’est le 1er ravito, Jérôme s’est cramé dans les montées du début, et décide de partir sur le 50 km, mais la bifurque n’est qu’au 2eme ravito, c’est à dire au quarantième km.

Nous arrivons au 2eme ravito, mais le 80 et le 70 sont fermés car nous sommes hors délai…. Donc nous continuons sur le 60 km, où des champs de boue nous attendent, mais des vrais champs de boue, où  je passe le plus souvent en travers, car impossible de tenir le vélo en ligne droite… Mais Philippe y va à fond et nous lâche.
Bravo Philippe car ce n’était pas facile.

Jérôme, derrière, gère encore de belles pentes, même si c’est à pied qu’il les monte. Je suis avec Philippe et nous roulons de concert, en montant tout sur les vtt. Mais obligés de chercher l’accroche des pneus pour pouvoir monter, donc la galère !!! Je passe sur le reste à travers les champs, et les descentes assez hard par endroit.

Nous revenons à notre point de départ et là, surprise !!! Je gagne le cadeau du plus âgé, et un 2eme cadeau, de la plaque tirée au sort, à savoir un cadre numérique pour photos et un ensemble complet de protections de cadre.

J’ai bien fait de venir, nous terminons avec un peu plus de 64 km au compteur avec une moyenne de 14 km/h, ce qui pour moi est déjà bien.

En somme, une belle matinée boueuse, mais sympa.

Pour le club des Essarts Le Roi, c’est la douche froide pour la 7eme édition, car nous étions en tout 150 participants au lieu des 570 de l’année dernière, dont une personne sur le 80 km et 15 sur le 70.

Bravo à Jérôme pour ta performance, puisque c’était ton premier 60km, et merci à Philippe qui m’a bien aidé sur la fin. Car nous roulions ensemble, et il m’a impressionné sur les champs de boue, où lui passait à fond, alors que moi impossible d’aller droit : je passais tout en travers, ce qui m’a occasionné des crampes dans les poignets, et des bonnes parties de rigolade vue les figures !!!

Michel.

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Fête du Vélo à Vélizy 2014

7 juin 2014

Pour la première fois cette année, Vélizy organisait sa fête du vélo. La municipalité a sollicité notre club, afin d’organiser une randonnée familiale VTT, accessible à tous.

Malgré un temps incertain et un long week-end prolongé, des familles ont répondu présentes pour ce moment convivial.

Petits et grands ont apprécié la balade dans nos bois, entourés de nos bénévoles attentifs et prévenants. Un grand bravo au plus jeune de la troupe, qui a vaillamment suivi le groupe.

Toutes les photos sont ICI.

Nous vous donnons d’ores et déjà rendez-vous pour l’édition 2015 🙂

Mu²

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Convergence Francilienne 2014

1er juin 2014

Cette année, le départ depuis Vélizy pour la convergence francilienne, était exclusivement composé de membres du CCVV et de leurs familles.

Hervé, était le capitaine au départ, et se chargeait de mener le groupe :

  • Laure & Pascal et leurs pitchounettes
  • Stéphane C. et ses deux loulous,
  • Fred B. et sa fille
  • Michel.

Toute la joyeuse troupe a rejoint Paris dans la bonne humeur qui anime ce grand rassemblement des vélos.

Tous en garderont un excellent souvenir, et rempileront pour l’année prochaine.

Toutes les photos sont ICI.

Mu²