Beau Mollet 2013

Coulisses

Nouvelles du Club Nouvelles du Club 2016

Vélizy-Dietzenbach

C’est l’histoire de 12 cyclistes qui se sont embarqués dans une folle aventure de 670km en trois jours et demi, pour les 40 ans du jumelage de Vélizy-Villacoublay et Dietzenbach.

Ce projet trottait dans la tête de Muriel depuis trois ans environs. Il a été organisé par tous les membres du groupe et a permis de relancer les relations entre les deux villes. Le jumelage était en train de s’éteindre, car il n’y avait plus de communication entre les deux villes depuis environs 10 ans…

L’équipe est très fière d’avoir bouclé ce périple, qui reste une belle aventure humaine et sportive.

Présentation de l’équipe…

D’abord les filles du CCVV :
– Magalie, l’intrépide
– Muriel, la geek

Les gars du CCVV :
– Benoit, la fusée
– Cédric, l’infatigable
– Frédéric (B), le lève-tard
– Harrison, le p’tit nouveau
– Hervé, le furtif
– Khalid, le bavard
– Loïc, le capitaine
– Patrick (N), la machine
– Philippe (G), le discret

Le gars du TCVV :
– Patrick (L), le triathlète.

Notre chauffeur : Serge 🙂

Mardi 10 mai.

Dernier check-up du vélo et des bagages. Tout est prêt. On se retrouve tous au local du club pour charger les bagages, le ravitaillement et du matériel divers dans la camionnette. On ne s’attarde pas, il faut se coucher tôt.

Mercredi 11 mai.

Il y a du brouillard, mais la température reste douce. Pas grave…

Comme prévu, 10 des 12 cyclistes du groupe sont au point de départ, devant la mairie, à 5h45. Les deux autres, Fred et Khalid, nous rejoindront sur le parcours pour des raisons pratiques ou des contraintes personnelles inévitables.
Deux adjoints au Maire, Olivier Poneau et Bruno Drevon, et un Conseiller Municipal, Alexandre Richefort, se sont levés pour venir nous encourager. Même Vélizy TV, Didier Kirk, est au rendez-vous, c’est super.

Quelques photos, une interview express de Muriel, et c’est parti !

Au Plessis-Robinson, nous récupérons Khalid. Durant les 25km suivants nous roulons dans le brouillard et le début des embouteillages des gens qui vont travailler. Puis le calme et la quiétude. Les premiers rayons de soleil, les odeurs des champs en fleurs, des chevreuils et des lièvres croisent notre chemin : on se sent loin de notre banlieue maintenant. Les routes sont désertes.

Une première crevaison pour Philippe au 75ème km, nous permet de faire une coupure. Il est 9h40, on a déjà bien roulé. Une seconde pour Benoit, 7 km plus loin, nous contraint à une autre pause forcée, mais toujours dans la bonne humeur.


Pour déjeuner, nous nous arrêtons dans le village de Villeneuve de Bellot à une pizzeria près de l’église, où nous sommes accueillis à bras ouverts et servis très généreusement (le cycliste est un bon client, il mange beaucoup…).



Après manger, nous récupérons notre ultime et 12ème compère, Fred, quelques kilomètres plus loin, car il était parti plus tard avec Serge, notre chauffeur de la camionnette balai… c’est bon, nous sommes donc au complet pour continuer cette aventure.

Nous roulons à vive allure… Toujours pas de pluie, nous avons le ciel avec nous, même s’il est souvent nuageux.



A 30 km de la fin de notre étape, le support de la Gopro de Muriel, fixé sur le cintre de son vélo se rompt ! Elle percute douloureusement son tibia gauche (et non la roue, fort heureusement) avant de tomber par terre à grande vitesse. Patrick (L.) se charge de la récupérer avant qu’une voiture ne roule dessus… Incroyable, elle n’est pas cassée et le caisson étanche a juste une grosse éraflure… Mais elle ne pourra plus l’utiliser. Heureusement, il y a une deuxième caméra embarquée sur le vélo de Benoit.

16h45. Nous arrivons à notre hôtel de Châlons-en-Champagne. Quinze minutes plus tard, une pluie diluvienne s’abat sur nous, qui sommes heureusement à l’abri à la réception en attendant nos clés…

On a roulé fort…

Une bonne douche, et on se retrouve pour boire des bières et du rhum, avant d’aller rejoindre le restaurant de notre hôtel.


On ne se couchera pas trop tard, car l’étape de demain est encore plus longue et assez difficile.

Bilan du jour : 194km, 1081m D+, 26km/h de moyenne, 2 crevaisons pour les gars.

Vélizy WEB TV a filmé notre départ –> https://youtu.be/fMKeLdIexmw?t=4m10s

https://www.strava.com/activities/572599202

Jeudi 12 mai.

C’est donc le jour le plus dur de notre périple, et la météo prévue n’est pas fameuse. Il bruine lorsque nous partons vers 7h20.


A 50km, nous découvrons une route barrée, où même nos vélos ne peuvent se faufiler : un pont au dessus d’une rivière est fermé pour travaux, et comme on n’a pas nos affaires de plongée… il nous faut rebrousser chemin et tenter de retrouver notre parcours initial.


Entre les GPS et les smartphones, Benoit, Loïc et Serge finissent par trouver une route de contournement, qui nous vaudra 16 km de détour, en passant par des routes étroites et au piètre revêtement qui occasionneront plusieurs crevaisons, plus ou moins lentes.


Sinon, l’organisation avec la camionnette tourne bien. On se retrouve régulièrement sur le parcours, ce qui permet de nous ravitailler, de prendre ou déposer certaines affaires, de regonfler les pneus avec la pompe à pied après une crevaison. Bref, on commence à être bien rôdé.

Pour le déjeuner, à environ 110km de notre point de départ, Serge nous a dégoté un restau dans la base de loisirs du Colvert à Bonzée, « Les Pieds dans le lac », avec vue sur un joli plan d’eau. Magnifique, d’autant plus que le soleil a décidé de montrer un peu le bout de son nez.

Nous nous régalons avec des plats maison absolument délicieux et servis en quantité pantagruélique… La mousse au chocolat fait un vrai tabac !

A la fin du déjeuner, le groupe décide de se scinder en deux sous-groupes, un rapide et un plus cool, car c’est la partie la plus difficile de l’étape. Comme Muriel est la plus lente du groupe dans les grosses bosses, l’organisation lui convient (elle est encore pénalisée par ses 5 mois d’arrêt forcés à cause de la fracture de sa cheville…). Elle prend donc de l’avance en partant avec Patrick (N.), sans attendre le reste de son gruppetto. Ils resteront seuls 45mn à pédaler face au vent.

Bosses et averses se succèderont jusqu’à la fin de la journée, avec des beaux paysages.

Au final, le premier gruppetto arrivera à l’hôtel de St Avold à 18h40 et le second à 19h15. Ce n’est pas si mal !

Le gérant nous ouvrira le salon privé du restaurant attenant, pour que nous puissions être à notre aise autour d’une bonne bière, suivie d’un excellent repas bien servi. En fait, les cyclistes ont la cote pour manger, d’autant plus quand la patronne insiste pour que nous finissions les restes de frites ou du buffet des desserts…

On ne se couchera pas bien tard, à part Cédric qui s’est attelé à réparer les chambres à air percées, au cas où il y ait encore beaucoup de futures crevaisons…

Bilan du jour : 216km, 2000m D+, 24km/h de moyenne, 8 crevaisons toujours pour les gars.

https://www.strava.com/activities/573823375

Vendredi 13 mai.

Il n’a jamais aussi bien porté malheur, même quand on n’est pas superstitieux…

Nous partons plus tard ce matin, puisque l’étape ne fait que 165km et le dénivelé est modéré avec environs 1000m. Bref, les indicateurs sont au beau fixe.

Hélas, les ennuis vont s’enchainer progressivement…

A peine avons-nous quitté St Avold, que nous tentons de suivre une petite route parallèle plus calme à la grosse départementale de notre itinéraire. Dommage, on s’aperçoit que c’est une route de service qui ne mène nulle-part. Nous faisons demi-tour, en laissant faire de même notre camionnette sans nous retourner. Grave erreur : quelques kilomètres plus loin, nous recevons un appel de détresse de Serge qui s’est embourbé. Nous rebroussons chemin pour l’aider. Les gars sortiront le véhicule de ce pétrin en quelques minutes… Ouf !

Nous repartons, détendus d’être sortis de ce mauvais pas, et arrivons à la frontière un peu avant 10h00. Nous nous arrêtons pour la photo souvenir :

Puis c’est la deuxième galère de la journée : nous perdons tout contact avec notre chauffeur jusqu’à la fin de l’étape. En effet, le téléphone mobile de Serge n’est pas activé hors de France… Non seulement nous n’avons plus de ravitaillement, mais en plus, Serge n’a pas de carte papier, mais un smartphone initialement prévu pour le guider inopérant… Il arrivera malgré tout à bon port, grâce à sa débrouillardise et la gentillesse des Allemands pour le mettre sur le chemin régulièrement.

En fin de matinée, à la sortie d’une piste cyclable, Muriel perd l’équilibre à vitesse réduite. Cela lui coute un genou et un coude gauches abimés. Mais ça ne l’empêchera pas de pédaler malgré un amour-propre froissé.

On s’arrête pour déjeuner à Homburg. Nous nous installons à la terrasse d’une pizzeria, à l’ombre de grands parasols. On se détend tout en mangeant copieusement, et nous repartons dans la bonne humeur après plusieurs crises de fou-rire.


Rouler en Allemagne est plaisant. Tout le monde respecte tout le monde. On ne se sent jamais en danger lorsqu’un véhicule nous double : que ce soit un camion ou une voiture, jamais le conducteur ne tente un dépassement tant que c’est impossible ou trop juste. Ce n’est pas en France qu’on voit ça…


Nous commençons à emprunter des pistes cyclables en forêt qui sont plus des sentiers que des bandes goudronnées. Du coup, 10 du groupe décident de continuer via les routes parallèles au parcours. Alors que Harrison et Muriel préfèrent  continuer à rouler tranquillou par ces chemins tout à fait praticables, mais à vitesse plus réduite. Ils ont envie de lever le pied et de profiter un peu des paysages.

Ils poursuivont encore quelques dizaines de kilomètres via ces pistes, jusqu’à ce qu’elles deviennent trop boueuses et pleines de racines. Ils continuent à leur tour via la route, toujours en binôme.


La pluie arrive en milieu d’après-midi. Il pleut assez fort.

Les kilomètres défilent plus vite pour le groupe de 10 et le duo, mais toujours séparément.

A environ 20km de notre hôtel, il se produit une chute collective, à cause de rails, non pas perpendiculaires à la route, mais dans le sens de la marche. Vus trop tard, il était impossible de les éviter, les roues se sont prises dedans. Sept cyclistes se sont retrouvés violemment projetés à terre, et notamment Benoit qui est parti aux urgences en ambulance. On redoute une fracture du bassin, à cause de sa pompe à vélo et de son multi-tools qu’il garde toujours dans les poches de son maillot…
Les automobilistes ayant tout de suite prêté main forte à nos accidentés et appelé les secours, la solidarité s’est rapidement organisée pour les guider à l’hôpital et rapatrier le vélo orphelin.

Les itinéraires parallèles de tout le monde se croisent à environ 15km de la fin de notre étape, mais sans Benoit, resté aux urgences. Harrison et Muriel apprennent avec effroi ce qui s’est passé…

Nous continuons notre route jusqu’à Worms, en silence et éclatés en binômes ou trinômes, transis de froid pour ceux qui avaient laissé leurs affaires de pluie dans le véhicule balai…

Nous sommes accueillis à l’hôtel par Alexandre Richefort, arrivé quelques heures plus tôt par train à Francfort. Il doit rouler avec nous pour l’étape finale du lendemain. Étant lui-même cycliste, il est tout aussi inquiet que nous. Il sait comme les chutes à vélo peuvent être violentes et traumatisantes.

Nous retrouvons Serge et la camionnette, déchargeons les bagages pour ensuite y stocker nos petites reines. Le garage à vélos de l’hôtel n’est pas suffisamment sécurisé à nos yeux, et nous n’avons pas l’autorisation de monter nos destriers dans nos chambrées…

Puis, tout le monde se répartit dans les chambres et tente de se ressourcer avec une douche bien chaude.

Vers 20h30 nous nous retrouvons à l’accueil afin de partir diner dans un restaurant proche. Nous apprenons au même moment que notre blessé n’a rien de cassé et qu’il sera libéré en milieu de soirée, shooté aux anti-inflammatoires et antidouleurs. Deux autres du groupe, qui souhaitaient se faire ausculter, sont partis le rejoindre à l’hôpital puis sont revenus tous les trois en taxi.

Nous passerons une soirée apaisée et plus détendue au final, en nous régalant de mets locaux arrosés de bonnes bières. Le plus dur est passé. Demain, nous attend une petite étape en mode balade conduite par nos amis Allemands.

Bilan du jour : 177km, 1220m D+, 23km/h de moyenne, 4 crevaisons pour les gars, 1 stupide chute individuelle, 1 terrible chute collective avec 7 cyclistes à terre.

https://www.strava.com/activities/575054129

Samedi 14 mai.

Premier petit déjeuner allemand. Le buffet est fantastique.


Nous faisons la connaissance de nos cyclistes de Dietzenbach vers 9h30. L’ambiance est détendue, on papote, on rigole. Nous faisons un petit checkup de nos vélos, qui ont bien souffert de la pluie et des routes salissantes de la veille.


Nettoyage et huilage rapides de la transmission sont indispensables pour terminer sereinement ce périple.

Benoit fera l’étape à bord de la camionnette avec Serge.

Nous avons deux cyclistes véliziens de plus aujourd’hui : Alexandre et sa fiancée. Du coup, il y a 3 filles à rouler. C’est plaisant.

Une photo de tout ce beau monde, et nous quittons Worms vers 10h15, à allure modérée.

Il fait beau, mais il y a « du vent de partout » qui accentue la température trop basse pour la saison. Ainsi, quelque soit la direction dans laquelle nous roulons, nous avons toujours le vent de face !



Tiens Muriel crève et pour la première fois… Ce sera la quinzième et dernière crevaison du périple…

Nous arrivons au bac, pour traverser le Rhin. C’est rapide et sympa. Certains n’avaient jamais utilisé ce mode de transport : c’est une sorte de morceau de route mobile entre chaque rive.



Sur l’autre rive, d’autres cyclos Allemands, nous attendent avec un super ravito : deux magnifiques cakes maison et personnalisés pour l’occasion, du café, une bonne bouteille de vin, de l’eau… Bref, c’est super sympa comme accueil !





Nous continuons paisiblement notre route, en marquant plusieurs arrêts afin de ne pas arriver trop tôt à la mairie de Dietzenbach. On papote…

Le ruban d’asphalte continue de défiler sous nos yeux. Ça y est, on approche, on voit le panneau de Dietzenbach, puis on emprunte un rond point joliment décoré aux blasons de Dietzenbach et de ses villes jumelles, on traverse Velizystraße.

Encore quelques rues et nous arrivons sur l’esplanade de la Mairie, où plein de gens nous accueillent sous des applaudissements chaleureux… Des journalistes nous filment et nous prennent en photos. Nous sommes accueillis en héros !



Ça y est, la boucle est bouclée. Le challenge est terminé. Sentiment étrange pour chacun d’entre nous.

Nous nous dirigeons à présent dans le hall de la mairie où des encas et des boissons nous attendent, après avoir laissé nos fidèles destriers à l’entrée.

Vient le moment des remerciements et des discours.



Puis nous faisons connaissance avec nos familles d’accueil. Nous partons récupérer nos bagages et partons avec nos hôtes.

Vers 18h00, nous nous rejoignons tous pour participer à la cérémonie officielle de la fête des 40 ans du jumelage, qui se déroule dans un restaurant réservé pour l’occasion.

Les deux Maires, les Adjoints, les Conseillers Municipaux, les bénévoles du Comité de Jumelage (VIB), les hôtes, les cyclistes Français et Allemands, tous se retrouvent avec au programme : un excellent dîner où seront dégustées des spécialités locales, des discours prononcés, des remises de cadeaux et la nouvelle signature de l’acte de jumelage des deux communes.


Bœuf accompagné de la fameuse sauce verte, vin de pomme


Bilan du jour : 77km, 270m D+, 23,5km/h de moyenne, 1 crevaison pour les filles.

Reportage complet de notre arrivée par nos amis de Vélizy WEB TV : https://www.youtube.com/watch?v=lxPYltFxHZw&feature=youtu.be&t=54s

https://www.strava.com/activities/576442177

Dimanche 15 mai.

Après une courte nuit réparatrice, vers 9h00 nous rejoignons la Mairie afin de mettre nos bagages et nos vélos sous housses dans la camionnette.

Ensuite, plusieurs voitures de nos amis cyclistes nous emmènent jusqu’à Francfort, pour une petite visite guidée en attendant notre train ICE de 13h00. Nous découvrons une très belle ville, dont le centre d’affaires fait penser à Manhattan…




Puis vient l’heure des au-revoir sur le quai de la gare…

Nous sommes 10 à prendre l’ICE pour rentrer, Cédric et Benoit accompagnent Serge dans la camionnette pour le retour du matériel et des bagages jusqu’à Vélizy…

Sources photos : le groupe, Wittekopf


Montages vidéos

Bande annonce (publique) :


Reportage (privé, ne pas diffuser le lien de cette vidéo par les réseaux sociaux et ni les forums SVP… par contre, cette page du récit est bien protégée contre l’indexation des moteurs de recherche ! ) :


Page Facebook publique (pas besoin de compte pour y accéder, appuyer sur la touche « ECHAP » de votre clavier si une fenêtre de demande de connexion apparaît en plein écran) :

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Mu²

Nouvelles du Club Nouvelles du Club 2016

Ecotrail de Paris IDF 2016

Bénévoles VTT du CCVV sur le 18 – 50 & 80 km pour l’Ecotrail de Paris 2016

Depuis plusieurs semaines, plusieurs membres du CCVV s’impliquent sur l’Écotrail de Paris (ETP) par des réunions de préparation, reconnaissance du parcours, récupération et distribution du matériel par équipes : l’édition du 19-20 mars 2016 de l’ETP était lancée pour les ouvreurs VTT du 18 et 50 km et les serre-files, débaliseurs du 80Km. Le groupe VTT du CCVV présent depuis la première édition (9ième édition cette année) est désormais devenu incontournable pour la réussite de cette grande manifestation avec plus de 11500 participants sur l’ensemble des épreuves.

Les bénévoles VTT ont mis à contribution leur dynamisme pour assurer une bonne visibilité des parcours aux coureurs. Comme tous les ans, il a fallu remettre du balisage aux endroits où il avait disparu de la veille et même de quelques petites heures avant le départ des trailers !

Soucieux de vouloir être encore plus performants pour les prochaines éditions de l’ETP, les vététistes ont échangé avec les trailers tout le long des parcours pour recueillir leurs avis sur la visibilité des tracés.

Bravo à ces courageux sportifs et merci à tous les bénévoles ! La team VTT attend l’ETP 2017 avec impatience !



L'équipe serre-file/débalisage 80km